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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 12:13

A l'occasion de manoeuvres militaires russes à 40 km de l'espace aérien de la Suède fin avril, la presse de Stockholm entretient la peur à l'égard de Moscou :

 

stbasile_spasskayatower_red_square_moscow.hires.jpg"Will there be war?" ("Kommer det bli krig?") was the question posed in the 22 April report by the one of country's most respected papers, Svenska Dagbladet (SvD), its article (internet edition), 'Ryskt flyg övade anfall mot Sverige' ('Russian planes practice attack against Sweden'), 'revealing' some alleged particulars of a Russian Air Force practice mission that had "so far been kept secret".  Every major Swedish media outlet was soon discussing the story." (Pravda)

 

Le journaliste Göran Greider voit les choses autrement :

 

Göran Greider, vividly explained his perception of "The need for fear of the Russians" ("Behovet av rysskräck").   He observed that fear of 'the Russians' was useful for pushing Sweden further towards Nato membership, not to mention helping defense spending.  And so, not everyone here is being entertained by the ongoing show, a Riksdag (Swedish Parliament) source telling this journalist that the 'scare' was needed to justify 43 Billion Kroner in defense spending, plus aiding additions to that.  

 

Il faut justifier l'intégration dans l'OTAN et la progression du budget militaire : 657 dollars par habitant (autant qu'en Grèce, et sept fois plus qu'en Iran, et même plus que la moyenne de l'Union européenne). La question de l'augmentation de ce budget divise la classe politique. Le thème du "péril russe" sert le complexe militaro-indutriel de la Suède et de l'OTAN pour maintenir le niveau de la commande publique.

 

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 10:53

onu.pngThe United Nations on Wednesday approved a resolution supporting Syrian opposition forces, calling for a political transition there and condemning the forces of President Bashar al-Assad in a vote backed by the United States but rejected by Russia as “irresponsible.”

 

The non-binding resolution drafted by Qatar was approved by the General Assembly with a vote of 107-12, with 59 abstentions. Support for the Syrian opposition was weaker however than when a similar UN resolution was passed last August by a vote of 133-12, with 31 abstentions (Ria).

 

Russia, China, North Korea, Iran, Bolivia,  Nicaragua, Syria, Venezuela voted against. 

 

South Africa Ambassador Kingsley Mamabolo said his country, which voted in favor of previous resolutions condemning Assad's government, would vote against the resolution because it opened the door to "regime change" by forces from outside Syria.(JP) Indonesia, which voted in favor of the August resolution, said it abstained mainly because of the resolution's implied recognition of the Syrian opposition. ndia and Brazil were among the dozens who abstained.

 

En France le co-président du Parti de Gauche JL Mélenchon rappelle sur son blog les révélations de Carla del Ponte, émissaire de l'ONU, sur l'utilisation possible d'armes chimiques par les rebelles et ironise sur la propagande de guerre : " En Libye et en Syrie aujourd’hui les « insurgés » combattent un despote avec des méthodes aussi répugnantes que les siennes et parfois même pire. C’est ce que vient de montrer le recours aux armes chimiques par les « rebelles » en Syrie. Etrange : la femme qui le révèle pour l’ONU est celle qui a été menacée déjà pour le Kosovo. Encore elle ! Heureusement, les nord-américains sont là pour révéler qu’ils disposent de preuves solides montrant que le despote a usé de ces armes chimiques. Et patati et patata. La vie, quoi."

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 10:28

Georges Malbrunot du Figaro après avoir appelé pendant deux ans à la chute de Bachar El-Assad reproche à la France de ne pas avoir soutenu plus tôt un règlement politique et de n'avoir soutenu que les éléments les plus extrémistes et les moins cohérents de l'opposition syrienne : l'article est .

 

La France, perdue par son alliance avec le Qatar, ne jouera qu'un rôle mineur dans la conférence organisée sur la Syrie par les USA et les Russes.

 

 

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 13:45

Titre du Financial Times aujourd'hui "Le rapport Annan accuse ENRC d'avoir coûté 725 millions de dollars au Congo." De fait, l'Africa Progress Panel (APP), organisation présidée par l'ex-secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, devait rendre public, ce vendredi au Cap devant le World Economic Forum, un rapport détaillé  qui raconte notamment comment le Congo (RDC) aurait perdu 1,36 milliard de dollars (1,04 milliard d'euros) à l'occasion de cinq transactions entre 2010 et 2012, trois des cinq étant réalisées par ENRC (Eurasian natural ressources corp.), détenue à 54 % par des oligarques kazakhs.

 

Le même jour on apprend que l’ONG Save the Children qui évalue le bien-être des mères et des enfants dans 176 pays classe la RD du Congo à la dernière place.

 

Les Occidentaux, eux continuent de jouer une partie étrange au Congo. Alors que  le peuple congolais attend la fin du saga du M23 et le début d'une nouvelle stabilisation à l'Est, que Mary Robinson et bientôt Ban Ki Moon se précipitent vers la RDC pour y repéter ce que le M23 et le Rwanda et L'Ouganda disent déjà depuis des semaines, c'est-à-dire "une solution politique est préférable à une solution militaire" et l'ONU stigmatise les forces militaires congolaises. Global Witness lui accuse le Rwanda, l'Ouganda et le Burundi alliés de Washington syphoner les ressources du Congo.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 21:03

Le 2 mai Patrick Ventrell, porte parole du Département d'Etat américain a sommé l'Equateur de respecter la liberté de la presse et de protéger la vie de trois journalistes qui auraient fait l'objet de menaces personnelles ou de pressions : Janet Hinostroza, ancienne présentatrice du JT de Teleamazonas (chaîne du groupe Egas-Banque du Pichincha, dont les journalistes collaboraient étroitement avec l'administration Bush il y a quelques années selon Wikileaks), Martín Pallares (un habitué des insultes au président Correa qu'il traite à l'occasion de "casse cou ignorant", d' "incontinent verbal", de "gangster "etc - un tiers de ses articles selon une étude évoquée sur You Tube), éditorialiste de El Comercio en ligne, et Miguel Rivadeneira, présentateur sur Ecuadoradio.

 

Les attaques américaines se fondaient sur un rapport de Freedom House, think tank financé par les outils habituels de l'ingérence étatsunienne : USAID, National endowment for democracy et la  Lynde & Harry Bradley Foundation (d'extrême droite).

 

Rafael Correa a répliqué en rappelant que la liberté de la presse est respectée en Equateur et qu'il n'y a pas de peine de mort en Equateur, alors que le soldat Bradley Manning, qui a informé Wikileaks sur les exactions commises en Irak, risque une exécution aux Etats-Unis pour avoir informé de Wikileaks (dont le fondateur J. Assange est toujours sous protection équatorienne à Londres).

 

 

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 14:36

azer.jpgEn visite (présentée par Tel Aviv comme "historique") en Israël le 21 avril, le chef de la diplomatie azerbaïdjanaise Elmar Mammadyarov s’est entretenu avec Avigdor Lieberman, ex-ministre des Affaires Étrangères d’Israël, qui est maintenant à la tête de la commission parlementaire pour les affaires étrangères et la défense, le Président Shimon Pérès et le Premier-Ministre Benyamin Netanyahu. Les relations diplomatiques entre les deux pays ont été établies en 1992,  et les deux pays coopèrent dans des secteurs, tels que les télécommunications, l’agriculture, la technologie médicale et l’énergie (l'Azrbaïdjan fournit 40 % du pétrole israélien).

 

Cette visite serait liée à la récente montée de tensions avec l'Iran. Le différend a commencé quand une petite conférence a eu lieu à Bakou organisée par un groupe peu connu appelé le «Front de libération nationale de l'Azerbaïdjan du Sud». Quelques-uns des participants ont affirmé qu'ils étaient prêts à reprendre les provinces d'Iran peuplées d'Azéris si le gouvernement de Téhéran venait à s' "effondrer". Cette conférence a soulevé une vague de protestation en Iran et le rédacteur en chef d'un journal conservateur proche du Guide suprême Ali Khamenei - lui-même d'origine azérie - a proposé que l'Iran «sauve» le peuple azerbaïdjanais du "sionisme" en poussant Bakou d'organiser un référendum sur l'annexion du pays par l'Iran et un groupe de députés iraniens à la mi-Avril a déposé une proposition de loi qui annulerait le traité de Turkmenchay de 1828 partageat le territoire historique de l'Azerbaïdjan  entre la Perse et la Russie, en faisant valoir que le traité n'était valable que pour 100 ans... Du côté azerbaïdjanais le vice-président du Nouveau parti de l'Azerbaïdjan a pris les Iraniens au mot, afin d '«d'annexer les territoires azerbaïdjanais dans le sud de la République d'Azerbaïdjan et d'établir un seul Etat azerbaïdjanais." Le 11 avril  le ministre azerbaïdjanais des Affaires étrangères Elmar Mammadyarov a tenté de minimiser l'affaire mais le climat entre les deux pays était définitivement  dégradé.

 

Quelques jours après la rencontre azéro-israélienne, Ramiz Mehdiyev chef du Conseil national de sécurité de son pays se rendait en Iran pour apaiser son voisin du sud et assurer que l'Azerbaïdjan (qui est à majorité chiite comme l'Iran) n'installerait pas de base sur son territoire pour attaquer Téhéran.

 

L'Azerbaïdjan est au centre de nombreuses tractations en ce moment. Le 3 mai le commissaire européen de l'Union européenne à l’Élargissement et à la Politique européenne de voisinage Stefan Füle était à Bakou, le 3 mai Elmar Mammadyarov signait un accord de coopération avec l'Inde, tandis que le ministre de la défense azerbaïdjanais était en Turquie. A l'heure où Bakou est partagé entre la perspective d'une intégration dans l'union douanière avec la Russie et ses amitiés européennes, l'Europe assouplit ses pressions sur le thème des droits de l'homme. Le 23 janvier dernier rapport du social-démocrate Christof Strässer au Parlement du Conseil de l'Europe a été rejeté (Strässer n'a jamais pu enquêter su place faute de visa).  224 députés étaient présents (un record). Les députés de Russie, de Turquie et d'Espagne ont massivement voté contre Strässer. Les députés issus de l'UMP en France aussi. L'European stability initiative, à Berlin, a dénoncé le déversement d'uen "shower of gift" (une avalanche de cadeaux) de l'Azerbaïdjan sur les députés...

 

Au Bundestag allemand (sur lequel les associations turques et azéris d'Allemagne gardent un oeil vigilant), au cours des douze derniers mois, des motions ont été votées condamnant l'occupation du Nagorny-Karabakh et le massacre emblématique de Khojaly.

 

La député allemande Katrin Werner de Die Linke est citée par la presse azéri pour avoir critiqué le fait que le rapport Strässer ne reflétât pas la réalité sur le terrain. Elle a fait l'éloge de l'Azerbaïdjan comme Etat laïque, qui a rejoint les non-alignés en 2011, où le nombre de personnes qui gagnent moins de 1,25 dollar a chuté à 4% en 2008 et où le coefficient de Gini baisse.

 

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 23:21

Quatre mois après la reconnaissance du nouveau président somalien Hassan Cheikh Mohamoud par les USA et le FMI, le morcellement de la souveraineté somalienne se poursuit, non pas sous la menace des milices islamistes Shabab qui se sont retirées des principales villes mais de pouvoirs régionaux à la solde des Britanniques et de multinationales qui gouvernent de fait le pays.

 

Au Somaliland (au nord) devenu protectorat britannique une dizaine de personnes ont été assassinées à la suite des élections municipales de novembre 2012 par l'Unité spéciale de protection somalilandaise formée par le ministère de la défense britannique. La nouvelle ministre des affaires étrangères de la République fédérale de Somalie est d'ailleurs une politicienne du Fawzia Yusuf Haji Adam qui a passé une grande partie de sa vie au Royaume-Uni.

 

oil_well.jpgAu Puntland (en conflit avec le Somaliland) dont les réserves en pétrole sont estimées à 4 milliards de barils sur lesquels British Petroleum a des ambitions, les Britanniques ont installé une marine privée, Typhon, le "Backwater" des mers, financée par Simon Murray ancien légionnaire en France et Président de Glencore, les pilleurs du cuivre zambien, et dirigée par d'anciens amiraux de l'OTAN.

 

Au Sud, au Jubaland, où les forces kenyanes (elles aussi formées par les Britanniques) ont pénétré pour combattre les Shabab et contrôlent en partie la situation politique, une convention locale a lieu actuellement dans la capitale de la province de Basse-Juba Kismayo, ville portuaire d'un grand intérêt pour les firmes capitalistes de la région. Les participants ont récemment adopté une Constitution régionale provisoire et la désignation des membres du Parlement local est en cours. Les membres de ce Parlement voteront ensuite pour désigner le président et les autres dirigeants de la région. Ce processus a été condamné par le gouvernement central de Mogadiscio. Outre le Kenya, l'Ethiopie, autre alliée de Londres et de Washington (elle avait naguère envahi la Somalie pour le compte de Bush) a aussi intérêt à la formation du gouvernement du Jubaland, comme zone tampon pour endiguer les Shabab, mais aussi pour éviter la montée du sécessionnisme de sa province l'Ogaden (ethniquement proche des Somaliens).

 

La Grande-Bretagne, qui, après avoir accueilli la première conférence internationale sur la Somalie avait passé le flambeau à la Turquie, réunira de nouveau des Etats de la région pour définir l'avenir de ce pays (en grande partie en lieu et place du peuple somalien lui-même) le 7 mai prochain.

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30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 10:28

"Le mercredi 24 avril, juste après que les autorités du Bangladesh aient demandé aux propriétaires d'évacuer leur usine de confection qui emploie près de trois mille ouvriers, le bâtiment s'est effondré. Ce bâtiment, Rana Plaza, situé dans la banlieue de Dhaka Savar, produit des vêtements pour la filière qui s'étend depuis les champs de coton de l'Asie du Sud jusqu'aux pour sociétés de vente au détail dans le monde ocidental en passant par les machines et les travailleurs du Bangladesh. (...)" 2 000 personnes ont été sauvées, 300 sont mortes. "Cet "accident" intervient cinq mois (24 Novembre 2012) après l'incendie d'une usine textile Tazreen qui a tué au moins cent douze travailleurs." "Ces usines au Bangladesh font partie du paysage de la mondialisation qui est imité dans les usines le long de la frontière américano-mexicaine, en Haïti, au Sri Lanka et dans d'autres endroits qui ont ouvert leurs portes à un usage malin de l'industrie du vêtement de la nouvelle fabrication et ordre commercial des années 1990. Des pays soumis qui n'avaient ni la volonté patriotique de se battre pour leurs citoyens, ni aucun souci de l'affaiblissement à long terme de leur ordre social se sont précipités pour accueillir la production de vêtements. Les grands producteurs de vêtements ne voulaient plus investir dans les usines - ils se sont tournés vers des sous-traitants, en leur offrant des marges très étroites pour les bénéfices et les forçant ainsi à gérer leurs usines comme des camps de travail".

 

Pourtant les résistances existent : "Tout récemment, en Juin 2012, des milliers de travailleurs dans la zone industrielle Ashulia, en dehors de Dhaka, ont protesté contre des salaires plus élevés et de meilleures conditions de travail. Pendant des jours, ces travailleurs ont fermé trois cents usines, bloquant la route Dacca-Tangali à Narasinghapur. Les travailleurs gagnent entre 3000 taka (35 dollars) et 5.500 taka (70 dollars) par mois, ils voulaient une augmentation entre 1500 taka (19 $) et 2000 taka (25 dollars) par mois. Le gouvernement a envoyé trois mille policiers pour sécuriser les lieux, et le Premier ministre a offert supplications anodines qu'elle se pencherait sur la question. Un comité de trois membres a été mis en place, mais rien de substantiel est sorti."

 

" Il ya seulement dix-huit inspecteurs et inspecteurs adjoints pour surveiller 100.000 usines de la région de Dhaka, où la plupart des usines de confection sont situées. Si une infraction est détectée, les amendes sont trop faibles pour générer des réformes. Lorsque les travailleurs tentent de former des syndicats, la répression sévère menée par les dirigeants est suffisante pour anéantir leurs efforts. Gestion préfère les flambées de violence anarchiques à la consolidation constante du pouvoir des travailleurs. En fait, la violence a conduit le gouvernement bangladais à créer une cellule de gestion de crise et une police industrielle de ne pas surveiller les violations des lois du travail, mais pour espionner les organisateurs des travailleurs".

 

"Voilà plusieurs mois que le Bangladesh est secoué par de grandes manifestations à propos de son histoire — en février, la terrible violence que le Jamaat-e-Islami a fait subir aux combattants de la liberté de 1971 (le BNP) a poussé des milliers de personnes à se rassembler à Shanbagh, à Dacca. Ce mouvement de protestation s'est depuis transformé en une guerre politique entre les deux grands partis et a fait oublier les appels à la justice pour les victimes de ces violences." (Vijay Prashad, contributeur du livre "Atlas aternatif" dans Couterpunch).

 

Cette guerre civile larvée est cependant passée sous silence en France où l'OFPRA depuis 2011 refuse systématiquement l'asilement politique aux militants du BNP et du Jamaat-e-Islami qui le sollicitent (voir Slate.fr).

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 09:29

Après que 8 sénateurs néoconservateurs aient demandé à l'administraton Obama si des armes chimiques ont été employées en Syrie, l'Exécutif a répondu : " "Our intelligence community does assess with varying degrees of confidence that the Syrian regime has used chemical weapons on a small scale in Syria, specifically the chemical agent sarin," the letter said, a day after a letter by eight senators was sent to the president asking if chemical weapons had been used by the Assad regime since the conflict there began in 2011." (Asia Times)

 

Les interventionnistes y voient un motif pour agir militairement. Pour sa part le président égyptien Mohamed Morsi en pleine phase de rapprochement avec la Russie, est aujourd'hui à Téhéran pour discuter du plan de paix d'Ahmadinejad pour la Syrie, qui implique le dialogue entre les parties au conflit non directement impliquées dans des actes de répression (JP).

 

En Turquie dimanche à Antakya (Antioche), l'Association pour la Paix (liée au Parti communiste de Turquie) organisait une manifestation qui a réuni une foule importante  (voir les photos ici)  contre l'ingérence occidentale et turque en Syrie.

 

La journaliste ukrainienne naguère retenue en otage par l'Armée syrienne libre Anhar Kochneva participait à la conférence qui a suivi cette manifestation aux côtés notamment d'Erkan Bas membre du comité central du parti communiste et de Omar Adel représentant du Parti communiste de Syrie.

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 10:49

La répression militaire du groupe islamiste Boko Haram dans le Nord-Est du pays fait surtout des victimes chez les civils, ce qui renforce les soutiens à ce groupe dans la population.

 

"A battle between Nigerian soldiers and suspected Islamist militants that started on April 19 killed more than 185 people, mainly civilians, and left more than 2,000 houses burned in the northeastern town of Baga." (Washington Post 22 avril)

 

Le président Jonathan Goodluck a proposé une amnistie, refusée par avance par Boko Haram. La secte serait infiltrée au plus haut niveau de l'Etat nigérian.

 

Par ailleurs, la semaine dernière le groupe Ansaru, supposé plus proche d'Aqmi (Al Qaida Maghreb), a tué sept employés de la construction étrangers dans le nord du pays.

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